Au détour d'un passage, à Bercy-Village, la poésie vous saute aux yeux, avec ses princesses de Chine et ses paons merveilleux.
C'est le printemps des poètes, il fait beau, les familles font cahoter les bébés dans les poussettes, les filles taille mannequin-haut talons se tordent les chevilles sur les pavés, les hommes d'affaires fument des troncs d'arbres en rigolant et en sirotant des cognacs, les canards tournent de l'oeil à l'heure de la sieste et le soleil donne à tous un air de bien-être alangui.
C'est le printemps des poètes, il fait beau, les familles font cahoter les bébés dans les poussettes, les filles taille mannequin-haut talons se tordent les chevilles sur les pavés, les hommes d'affaires fument des troncs d'arbres en rigolant et en sirotant des cognacs, les canards tournent de l'oeil à l'heure de la sieste et le soleil donne à tous un air de bien-être alangui.
C'est l'heure de prendre un livre et de partir en poésie, en Chine ou ailleurs.
La Fauvette masquée aime bien les paons sauvages.
La poésie est un voyage, par les Messageries, par les passages, par les oiseaux.
La poésie est un voyage, par les Messageries, par les passages, par les oiseaux.
Un voyage au long cours, sur un banc, au soleil.
Sur une chaise, dans sa chambre.
Dans sa tête.
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